Les polices du monde entier deviennent connectées
C’est arrivé !!! Des arrestations ont été effectuées grâce aux preuves recueillies à partir d’appareils numériques connectés.
Et ce n’est que le début d’une transformation, que le système judiciaire connaîtra, en raison de l’Internet des objets, mais aussi de l’intelligence artificielle et des robots.
Il y a certainement des avantages à appliquer cette nouvelle technologie pour lutter contre la criminalité, mais cela soulève également de difficiles questions déontologiques concernant notre droit à la protection de la vie privée et à la sécurité.
Les polices du monde entier reçoivent une formation sur l’investigation dans une scène de crime et sur la façon d’analyser les preuves numériques.
Les appareils Echo et même les Fitbits fournissent des informations précieuses pour aider à résoudre des crimes. La plupart des gens ne comprennent pas le pouvoir de ces dispositifs connectés pour analyser les alibis et repérer les faux témoignages.
Comme notre dépendance à l’égard de ces appareils numériques pour nos divertissements et notre confort personnel continue de croître – montres, téléphones, téléviseurs, stimulateurs cardiaques et plus encore, les enquêteurs auront un long chemin avant de maitriser toutes les nuances de ces appareils dernier cris.
Par exemple, Il est courant pour des agents d’avoir des caméras de surveillance lors des patrouilles. Ces caméras peuvent fournir un dispositif fiable pour analyser la pertinence d’une intervention.
La connaissance de ces enregistrements connectés est un bon moyen de lutter face au comportement délictueux de certain policier.
De surcroit, de plus en plus de voitures de patrouille sont équipées de projectiles qui peuvent être tirés par télécommande et s’accrocher au dos du véhicule d’un suspect. Ceux-ci permettent aux agents de savoir où se trouve la cible et donc d’éviter les activités automobiles à grande vitesse, donc dangereuses. Des capteurs intelligents ont été développés car ils peuvent être fixés à l’intérieur du pistolet d’un officier pour suivre comment l’arme à feu est utilisée, y compris si elle a été chargée ou déchargée. Cette information pourrait être utile lors de procédures judiciaires.
Même les policiers sont sous la surveillance des objets connectés. A bon entendeur.
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